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Santé

L’immunothérapie : un traitement plus ciblé contre le cancer

Aujourd’hui, l’immunothérapie est devenue une norme dans le traitement d’une dizaine de cancers. Cette méthode qui consiste à stimuler et renforcer le système immunitaire a permis de soigner de nombreuses personnes. Seulement, cette technique n’est pas exempte d’effets secondaires. Ces désagréments sont particulièrement dus à la toxicité des médicaments administrés aux patients. Le recours à l’approche Beljanski peut cependant réduire ces réactions. 

Les principes et les avantages de l’immunothérapie

Autrefois, l’immunothérapie était réservée au traitement du mélanome avancé. Mais les études ont permis de constater que cette approche était aussi efficace pour soigner de nombreuses tumeurs difficiles à traiter. On parle notamment du cancer du poumon, du sein, du foie et de la prostate. Les résultats de plusieurs tests cliniques ont ainsi démontré que cette méthode présente des effets thérapeutiques plus intéressants comparés à la chimiothérapie ou la radiothérapie.

Inventée il y a plusieurs années, cette technique consiste à stimuler les capacités intrinsèques du système immunitaire afin qu’il s’attaque à la tumeur. En temps normal, les défenses naturelles de l’organisme sont constituées d’un ensemble de cellules qui protègent le corps contre les infections virales ou bactériennes. Mais ces microorganismes s’affaiblissent à cause du développement du cancer. Selon les principes de l’immunothérapie, les médecins vont donc administrer des anticorps dirigés contre les cellules cancéreuses. Il s’agit, en réalité, d’immunostimulants qui ont pour objectif de renforcer et aider l’immunité à lutter plus efficacement contre la maladie.

Les spécialistes prescrivent cette méthode pour de nombreuses raisons. Elle permet tout d’abord d’interrompre ou ralentir la propagation du cancer vers d’autres organes. Aussi, elle accompagne généralement la chimiothérapie et la radiothérapie afin que le traitement s’attaque directement aux tumeurs.

L’immunothérapie : des effets secondaires à prévoir

L’immunothérapie permet désormais de traiter bon nombre de cancers. Les scientifiques continuent d’ailleurs d’améliorer l’efficacité de ce traitement. Et si celui-ci améliore le taux de survie des patients, il n’est pas moins dépourvu d’effets secondaires. Le risque principal étant que le système immunitaire s’attaque non seulement à la tumeur, mais aussi aux tissus sains. Le cerveau, le foie, les poumons, les reins et les thyroïdes sont les plus souvent touchés. C’est un phénomène que l’on appelle communément auto-immunité. Et bien que les hôpitaux ne donnent pas des chiffres exacts, les patients en disent long à ce sujet.

Afin de limiter les réactions nocives dans l’organisme, des chercheurs tels que Mirko Beljanski ont  mis au point des médicaments dénués de toute toxicité. Il s’agit d’une approche ingénieuse consistant à administrer des ARN-fragments actifs. Cette solution permettrait notamment d’augmenter la production de globules blancs et de stabiliser les malades en état critique. L’approche Beljanski  est désormais souvent citée comme une autre manière d’appréhender l’immunothérapie. Préconisant l’utilisation d’extraits naturels, elle serait plus saine pour l’organisme. Malgré tout, les patients ont intérêt à demander préalablement l’avis de leurs médecins pour se prémunir contre d’éventuelles contre-indications.

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