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Naturopathie

Syndrome métabolique : alerte au surpoids et à la santé

L’état de santé général des Français semble contrasté. Une grande majorité s’estime en parfaite condition physique, alors que seulement un tiers bénéficie réellement d’une bonne santé. La prévalence du surpoids est notable, avec une proportion alarmante d’individus obèses ou en excès pondéral.

Le calcul de l’strong{IMC} constitue un indicateur pertinent pour évaluer cette problématique. Un score supérieur à 25 suggère un surpoids et au-delà de 30 pointe vers l’obésité. Plusieurs facteurs contribuent à cette situation, notamment les habitudes de vie peu actives, le stress et une alimentation riche en calories.

Les conséquences liées au surpoids ne sont pas négligeables puisqu’elles affectent directement la qualité et la durée de vie des individus concernés. Il est donc impératif d’accorder une attention particulière aux modes de vie pour promouvoir un état de santé optimal.

Pensées sur ce qui dépasse la simple question de l’excès de poids

La répartition de la graisse dans le corps est un facteur clé pour la santé. Si elle se concentre sur les cuisses, on parle d’obésité de type gynoïde. Par contre, si elle s’accumule autour du ventre, c’est l’obésité de type androïde qui prévaut. Cette dernière est particulièrement risquée car elle augmente le danger de maladies graves comme les troubles hépatiques, cardiaques ou encore les problèmes métaboliques tels que l’excès de cholestérol, le diabète et une hausse des triglycérides. Il est donc crucial d’être attentif à ces signaux afin de prendre soin de sa santé.

Pour résumer :

– La position des amas graisseux affecte directement notre bien-être.
– L’obésité gynoïde touche principalement les cuisses.
– L’obésité androïde, centrée sur l’abdomen, présente plus de dangers.
– Les conséquences peuvent être sévères : atteintes au foie, complications cardiaques et dérèglements métaboliques.

Veiller à une bonne hygiène de vie reste essentiel pour contrer ces menaces.

Identifier les symptômes précurseurs d’un potentiel syndrome métabolique

Changer de mode de vie peut considérablement diminuer les risques de maladies graves touchant à la longévité. Le syndrome métabolique, lié à une résistance à l’insuline, résulte souvent d’une alimentation trop grasse et sucrée, du stress et du manque d’exercice physique. Cette pathologie engendre des difficultés pour le glucose à entrer dans les muscles et le foie, ce qui conduit le pancréas à surproduire de l’insuline sans effet suffisant.

Avec le temps, cette insuffisance entraîne une hausse anormale de la glycémie, favorisant des dommages cellulaires pouvant aboutir au diabète de type 2. Ce trouble apparaît généralement après 40 ans et s’aggrave avec un mode de vie sédentaire et un stress chronique. Les conséquences peuvent être sévères : diabète, hypertension ou encore maladies cardiovasculaires.

Les signes précurseurs incluent notamment une accumulation anormale de graisse autour de l’abdomen. Des mesures simples comme la circonférence taille-hanche peuvent indiquer un risque accru si elles dépassent certains seuils, 0,85 pour les femmes et 0,95 pour les hommes. Même si l’indice de masse corporelle est normal, il faut rester attentif aux variations modérées mais progressives des marqueurs biologiques comme la tension artérielle ou le taux de cholestérol.

En résumé :

– Adoptez une alimentation équilibrée.
– Pratiquez régulièrement une activité physique.
– Gérez votre niveau de stress.

Ces mesures contribuent efficacement à prévenir le syndrome métabolique ainsi que ses complications possibles.

Actions et Solutions

Pour contrer le syndrome métabolique et ses conséquences grave à long terme, il est essentiel d’adopter une meilleure hygiène de vie. Ceci inclut principalement l’équilibre alimentaire : une alimentation modérée en sucres, graisses et sel. Il est conseillé de cuisiner chez soi pour limiter la consommation de produits industriels qui favorisent ce syndrome.

Il faut savoir que les excès de mauvais cholestérol et de triglycérides sont souvent dus à la consommation d’alcool et au sucre, particulièrement les sucres rapides tels que pâtisseries, aliments à base de farine blanche, bonbons et confitures. Pour éviter ces dérèglements, quelques règles simples peuvent être suivies :

  • Évitez les féculents au petit-déjeuner ou le soir.
  • Au petit-déjeuner privilégiez les protéines comme les amandes ou le fromage de brebis. Le soir optez pour des légumes avec un peu de protéine.
  • Choisissez des huiles riches en oméga 3.
  • Incorporez dans votre régime hebdomadaire environ 400 grammes de poissons gras comme les sardines ou maquereaux.

Ces pratiques favoriseront une diminution du risque résiduel lié aux troubles cardio-vasculaires même si vous prenez des médicaments pour maîtriser certains facteurs du syndrome métabolique.

Entamez le chemin de la reprise d’activité

Bouger plus est essentiel, en particulier si l’on mène une existence peu active. Optez pour les marches plutôt que l’ascenseur et stationnez à distance de vos destinations habituelles pour inclure la marche dans votre routine. Une promenade quotidienne de 20 minutes peut faire des merveilles.

Les activités douces telles que nager, danser ou se balader ont un impact positif sur le stress. Moins de stress signifie moins d’hormones liées au stress qui peuvent perturber l’équilibre du sucre dans le sang et favoriser l’apparition de maladies cardiaques.

Enfin, s’exercer aide nos cellules à utiliser le glucose sans dépendre autant de l’insuline, ce qui contribue grandement à réduire les risques associés au syndrome métabolique et à la glycémie élevée.

Bien dormir équivaut à bien manger

Les recherches ont établi un lien préoccupant entre la qualité du sommeil et le métabolisme des sucres. En effet, ceux qui peinent à trouver le repos nocturne enregistrent, au réveil, des niveaux de glycémie sensiblement supérieurs. Ce n’est pas tout : leur production d’insuline s’avère notablement plus élevée que celle observée chez les personnes jouissant d’un sommeil réparateur.

Par ailleurs, l’équilibre hormonal essentiel à la régulation de notre appétit est perturbé par les nuits agitées. La balance entre les hormones de la faim et celles commandant la sensation de satiété se trouve rompue ; on assiste alors à une surproduction de ghreline, cette hormone qui nous incite à manger, au détriment de la leptine qui nous aide normalement à nous sentir rassasiés.

Sur la micro-nutrition

Le chrome est un micronutriment essentiel qui renforce les performances de l’insuline, lui permettant d’agir plus efficacement.

Dans le domaine des plantes médicinales

L’olivier joue un rôle clé dans la maîtrise de l’hypertension. Il aide également à équilibrer le cholestérol et à contrôler la quantité de sucre dans le sang.

Concernant l’aubépine, ses bienfaits sont multiples pour le cœur : elle apaise, combat l’anxiété et soutient les fonctions cardiaques tout en contribuant à réguler une hypertension légère.

Le ginseng, quant à lui, s’avère précieux durant les périodes de stress prolongées puisqu’il réduit la production du cortisol et prévient les problèmes liés à une utilisation inefficace de l’insuline par le corps.

Enfin, la cannelle est reconnue pour sa capacité à freiner certains processus chimiques impliqués dans le vieillissement des cellules liées au glucose.

En conclusion

Pas de fatalisme face au syndrome métabolique. Prévenir ses effets néfastes est à notre portée : il suffit d’ajuster son alimentation et de bouger régulièrement. Ces actions constituent notre bouclier face à cette maladie.

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