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Naturopathie

Végé Burger, la recette de Mémé

La blogueuse Mémé s’aventure dans le monde végétarien et partage avec toi, lecteur, son périple gourmand. Elle tente l’expérience du Végé Burger, une variante sans viande du célèbre sandwich. Faisons preuve de douceur à l’égard de cette grand-mère attachante qui se lance dans une cuisine nouvelle pour elle.

Pourquoi opter pour un burger végétarien ?

D’abord, exposons brièvement la raison d’avoir choisi de présenter le végé burger comme notre première recette.

Récapitulatif des événements :

Intéressée par le végétarisme, je plonge dans l’univers des plantes sans aucune base. Mon compagnon, lui, est un fan de fast-food et boude les verts à la moindre occasion; un vrai casse-tête pour le satisfaire.

Objectif visé :

Il est essentiel d’apprécier les plats que l’on prépare. Cela va de soi, cuisiner pour soi-même devrait rimer avec plaisir gustatif. En outre, le véritable défi culinaire réside dans la capacité à satisfaire les papilles d’autrui, notamment celles des convives exigeants. Imaginez la scène : servir un repas à Jules et parvenir à ce qu’il soit suffisamment rassasié sans qu’il ressente le besoin de compléter son assiette avec une tartine recouverte de ketchup pour caler sa faim persistante. Eh oui, cette situation peut paraître invraisemblable, mais elle arrive bel et bien dans certaines cuisines !

Applications pratiques

Pour initier un changement dans les habitudes alimentaires de Jules, fervent consommateur de fast-food, l’approche doit être subtile. Il est judicieux d’y aller petit à petit plutôt que de chambouler son régime du jour au lendemain. Une bonne stratégie serait de lui concocter un burger végétarien sans mentionner l’absence de viande, en espérant qu’il ne remarque pas la différence. Quant aux légumes, mieux vaut les incorporer discrètement pour qu’ils passent inaperçus.

Recette de burger végétarien

Pour concocter de savoureux burgers, voici les ingrédients nécessaires pour deux personnes : garnissez-les avec des feuilles de salade croquantes, des rondelles de tomate fraîche et de cornichons aigre-doux. Choisissez des pains à burger moelleux, avec ou sans gluten selon vos besoins, et superposez une tranche fondante de fromage à burger. Bien que peu conventionnels dans un burger, remplacez les petits pois et le maïs par d’autres légumes appréciés pour éviter tout désagrément gustatif. Faites revenir un oignon émincé jusqu’à ce qu’il soit translucide et caramélisé. Pour la touche finale, mélangez un œuf battu avec de la farine, incorporez la chapelure assaisonnée d’une pincée de sel et d’un soupçon de paprika. Et n’oubliez pas une onctueuse coulée de ketchup pour lier le tout ! Bon appétit !

L’élément central de votre burger végétarien est la galette qui remplace le steak haché

Mixez les petits pois, le maïs, l’oignon et l’œuf pour obtenir une purée. Transférez-la dans un récipient et ajoutez-y des épices, de la farine et de la chapelure. Remuez énergiquement jusqu’à ce que la mixture devienne une pâte consistante.

Faites chauffer de l’huile dans une poêle et formez-y des galettes. Laissez cuire environ 15 minutes à feu moyen en les retournant occasionnellement. Avant la fin de la cuisson, placez une tranche de fromage sur chaque galette pour qu’elle fonde légèrement.

Si vous le souhaitez, faites dorer rapidement vos pains dans la poêle ou passez-les au four.

Assemblez ensuite vos burgers selon votre préférence. Voici une suggestion d’ordre : pain, ketchup, salade, galette avec fromage fondu, tomate en rondelles, cornichons et terminez par le deuxième pain.

Le verdict sur le burger végétarien

Ton opinion :

Malgré mon aversion pour les petits pois, je dois admettre que ce hamburger est exceptionnel. Il prouve qu’un steak n’est pas indispensable pour se régaler et être rassasié. En dégustant ma création, je ressens une certaine fierté culinaire.

L’opinion de Jules-le-Testeur :

Les galettes se sont avérées un peu trop épaisses, modifiant ainsi la texture attendue. Jules a commencé à trouver son burger inhabituel après en avoir consommé une grande partie. Il s’est interrogé sur la nature du steak, avant de réaliser qu’il ne s’agissait pas de viande traditionnelle. Cette découverte a coupé son appétit et il n’a plus touché aux galettes de pomme de terre qu’il aime pourtant tant.

Le jour suivant, devant l’étonnement de Jules concernant la présence de maïs dans le réfrigérateur, je lui ai révélé que c’était les restes du dîner précédent. Surpris mais néanmoins séduit par cette expérience culinaire inattendue, il m’a demandé si je pouvais préparer ce plat à nouveau, signe que ma tentative avait été un succès malgré ses réticences initiales.

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